Volume XXV Numéro 1, 14 SEPTEMBRE 1998
14/09/98 29/09/98 12/10/98 26/10/98 9/11/98 23/11/98 07/12/98
18/01/99 01/02/99 15/02/99 01/03/99 15/03/99 29/03/99 12/04/99
LA UNE

La Rentrée 1998
On fête avant d'apprendre, échanger, réussir


Réorganisation de la Direction


SOMMAIRE DU NUMÉRO

La Rentrée 1998

Réorganisation de la Direction

Université du Québec
Remise des Prix d'excellence


Statut des doyens:
entente conclue


Des pouvoirs accrus pour la Faculté des sciences humaines

Nouveaux programmes de deuxième cycle en éducation

La nouvelle bibliothèque des sciences a ouvert ses portes

Colloque sur le commerce électronique

L'UQAM et le Séminaire Interamérica
Une contribution à l'environnement


La clinique juridique plus accessible à la population

Titres d'ici

Ouverture de la foire alimentaire au pavillon Président-Kennedy

VITE LU

Galerie de l'UQAM
Quotidien, intimité et technologie


Cours et ateliers à l'École préparatoire de musique

Centre de design
Plongée dans le cyber-espace


SOUTENANCES DE THÈSE

COMMISSION DES ÉTUDES

IN MEMORIAM

LETTRE À L'UQAM
Souvenons-nous de Norbert


Décès du professeur émérite Adrien Pinard

La clinique juridique plus accessible à la population
Me Robert Saint-Louis, responsable de la clinique

Maintenant qu'elle vient d'inaugurer ses nouveaux locaux situés à l'intersection des rues Hôtel-de-Ville et Boisbriand* (une rue au nord de Sainte-Catherine), la clinique juridique pourra désormais être plus accessible à la population**. «Sortir des murs de l'UQAM, représentait un vieux projet», de souligner Me Robert Saint-Louis, responsable de la clinique et chargé de cours au département des sciences juridiques.

Fondée en 1975, la clinique continuera à fonctionner sur une base de bénévolat et les consultations y seront encore gratuites. Comme l'explique M. Saint-Louis: «traiter du cas à cas, préparer de la documentation, organiser des séances d'information juridique, aider les gens qui veulent se représenter eux-mêmes, offrir des services qui ne sont plus couverts par l'Aide juridique, etc., telles sont quelques-unes des tâches que nous nous sommes fixées. Une fois qu'on a les locaux, sky is the limit».

En plus de la population du quartier et d'ailleurs (groupes et individus), la clinique fournira des services, comme auparavant, à la communauté uqamienne: étudiants, enseignants et employés. Les jeunes en particulier, souvent moins informés et disposant de peu de ressources, représentent une clientèle cible pour l'organisme. «Nous avons même l'intention, ajoute M. Saint-Louis, de faire enquête auprès de groupes d'intervenants qui travaillent avec des jeunes du quartier, comme par exemple les travailleurs de rue, afin de mieux connaître leurs besoins».

Le personnel de la clinique se compose d'étudiants du programme de baccalauréat en sciences juridiques, lesquels effectuent de la recherche, rédigent des documents d'information et accomplissent du travail clérical, le tout sous la supervision de professeurs et chargés de cours du département. Leur pratique constitue une activité académique annuelle reconnue comptant pour six crédits. La clinique projette aussi d'aller chercher d'autres ressources à l'extérieur de ses murs, comme des avocats qui seraient prêts à collaborer avec les étudiants.

Le prochain objectif ? «Trouver des sources de financement», de répondre Robert Saint-Louis, une tâche d'autant plus importante compte tenu du contexte de compressions budgétaires.

Quiconque veut faire appel aux services de la clinique peut prendre rendez-vous en téléphonant au 987-3000-6760 #. L'organisme a également un site web: (www.juris.uqam.ca /clinique).


* La clinique, qui n'a pas encore de numéro civique, a emménagé dans une partie des anciens locaux de la station Musique Plus, tout près des différents pavillons de l'UQAM, au centre-ville.

** Pour la réalisation de ce projet, Me Saint-Louis tient à mentionner l'aide et la contribution de Mme Lucie Lamarche, professeure au département des sciences juridiques, et de M. François Crépeault, directeur du module.